le Béthunois

L'agence d'Arras n'en est pas à sa première expérience. En effet, avant cela, l'agence avait organisé une exposition photographique mettant en lumière la ville d'Arras. Interpellée par cette exposition, la Présidente du Conseil Syndical d'un immeuble géré par l'agence a demandé si l'une des copropriétaires de son immeuble pouvait exposer ses peintures. Rapidement, l'agence a contacté la cliente en question qui a fait preuve d'un réel engouement face à cette proposition. Cette exposition a permis de générer du trafic au sein de l'agence par des personnes simplement venues admirer les œuvres d'art. Certaines d'entre elles sont même devenues clientes ! Aujourd'hui, l'agence est contactée par différents artistes qui proposent spontanément de venir exposer leurs œuvres. Un réel succès qui permet aujourd'hui à notre agence d'Arras d'être un lieu générateur de liens.

Un jour, alors que nous étions en prospection sur le terrain, nous avons posté une photo sur Instagram, et l’une de nos connaissances nous a contacté. Cette personne, en cours de séparation, souhaitait vendre son appartement dans le 17e à Paris. Il s'agissait d'un bien acheté en 2018 pour 314 000 €. La personne en demandait 370 ou 380 000. Elle avait déjà fait appel à deux concurrents qui avaient estimé le bien dans cette fourchette. Après notre propre analyse, nous lui proposons une vente à 470 000 €. Le vendeur n'en revient pas mais, nous connaissant, il nous fait confiance. Son ancienne compagne, elle, refuse de signer le mandat exclusif. Deux jours sont nécessaires pour la convaincre. Ils signent finalement le mandat un vendredi matin. Le lundi, deux offres d'achat au prix demandé sont déposées. Notre client, qui n'avait pas mis d'apport dans l'achat de l'appartement il y a un an, a ainsi réalisé une plus-value de 50 000 €. Lui et son ex-compagne nous mettent régulièrement en contact avec de potentiels futurs clients.

Nous étions le syndic d'une copropriété depuis plusieurs années quand celle-ci a décidé de changer d'organisme. Non parce que les copropriétaires étaient mécontents de Sergic, mais parce qu'ils souhaitaient un syndic plus petit, pour plus de proximité. Ils voulaient également voir ce qui se faisait ailleurs. Souvent, pour plus de simplicité et de praticité, les copropriétaires non occupants donnent leur bien en gestion locative au même organisme qui s'occupe du syndic. Mais là, certains propriétaires ont décidé de rester chez Sergic pour la gestion de leur bien. En effet, nous avions pris le temps de créer une relation de confiance avec eux, de répondre à leurs besoins selon leurs problématiques personnelles et ils ne voulaient pas perdre cette relation particulière. Si les gens n'hésitent pas à se plaindre lorsqu'ils sont mécontents, il est plus rare qu'ils vous montrent les signes de leur satisfaction. En conservant leurs biens chez Sergic, ils nous ont prouvé qu'on avait raison de créer avec chacun une relation unique.