Certes, le jardin est bien entretenu, et les poubelles sont toujours sorties…Mais depuis quelques temps, vous trouvez que les charges de votre immeuble deviennent lourdes à porter. Trop lourdes.
Quelques conseils pour éviter les dépenses inutiles
Chauffage, assurances, frais de gestion : la dernière assemblée générale vous a laissé un goût amer et vous avez le sentiment que les charges mensuelles portées par votre syndic ne sont plus tout à fait justifiées ?
Pour y voir plus clair, rien de tel que d’y regarder de plus près.
Premier point noir : le chauffage. Essayez d’en savoir plus sur l’isolation, des murs et du toit. Jetez un œil aussi aux factures d’électricité.
Bref, renseignez vous sur le suivi des consommations. Si votre syndic est Sergic, prenez contact avec le viva référent : il est là pour ça ! Son job : faire connaître aux habitants de l’immeuble les petites astuces pour économiser l’énergie…et donc baisser les factures.
Deuxième point noir : les prestataires. Certains travaillent depuis longtemps pour la copropriété, mais ne sont plus du tout dans les prix du marché. Faites jouer la concurrence en demandant des devis reprenant les différents contrats : jardinage, gardiennage, assurances, énergie. Ces postes de dépenses peuvent sûrement être revus à la baisse.
Et puis, pourquoi ne pas y mettre chacun du sien : dans l’un de ses immeubles, Sergic a fait faire des économies à tous, en montrant comment changer les ampoules des couloirs. Un geste simple.
Dans les charges, entre en compte la rémunération du syndic. Garant des dépenses courantes de l’immeuble, il peut être un véritable gestionnaire en or…Mais aussi un encombrant partenaire, si personne n’y prend garde. En France, les frais des gestion reviennent en moyenne à 5,62 euros par mètres carré selon une étude de l’ARC, association des responsables de copropriété, portant sur 2016. Une somme qui couvre le travail que fait le syndic pour administrer l’immeuble. Il s’agit des appels de fonds, réalisés en fonction des quote-parts, et qui permettent de provisionner les dépenses courantes. Mais aussi des avances de trésorerie, prévues pour les travaux.
Depuis quelques années, l’arrivée de la loi ALUR a plombé les comptes de certains copropriétaires. Les syndics ont expliqué reporter sur la facture, des contraintes imposées par la nouvelle loi.
L’une des façons d’y voir clair, pourrait bien être la personnalisation. Viva Syndic propose par exemple un forfait adapté au profil de chaque copropriété. Pour éviter les listes de dépenses à rallonge, Viva Syndic bloque dès le départ un tarif tout compris. Pas de mauvaises surprises dans le temps, et des tarifs qui peuvent aller jusqu’à 20% moins cher.